Ateliers de formations du 5 au 10 mai

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Le théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou poursuit son cycle de formations au profit des stagiaires. Dans la matinée d’hier, la direction a lancé deux nouvelles formations. Un atelier pour l’écriture dramaturgique, encadré par Nourdine Aït Slimane, poète, dramaturge, chroniqueur culturel et producteur d’émissions radiophoniques au sein de la radio locale). L’autre atelier est celui de la scénographie assuré par Arezki Larbi, diplômé de l’Ecole des Beaux Arts d’Alger, option communication visuelle. Le directeur du TRKY, M. Farid Mahiout, nous dira : «Nous venons de lancer deux ateliers de formation qui s’étaleront du 5 au 10 de ce mois de mai. C’est le couronnement des deux précédentes formations et les stagiaires sortiront avec un produit d’écriture». Le directeur du TRKY précise que les stagiaires d’aujourd’hui sont issus de différentes associations qui activent au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou et qui ont envoyé leurs meilleurs scénographes (onze participants) et une collaboration est faite avec l’Ecole des beaux arts d’Azazga (une dizaine de participants). 31 stagiaires sont donc concernés par cette formation. Arezki Larbi, artiste-peintre issu de l’Ecole des beaux arts d’Alger, nous dira : «Nous allons suivre une formation accélérée sur la scénographie, appelée communément décor de théâtre ou ‘’Comment décorer un texte ?’’. Nous espérons que les stagiaires en seront satisfaits». Pour sa part, l’autre animateur, Nordine Aït Slimane, précisera : «C’est le couronnement des formations précédentes. Cet atelier compte une dizaine de stagiaires sélectionnés lors des deux précédentes formations et nous comptons produire des pièces relatives à notre terroir». Notre interlocuteur nous explique que la formation pourra s’étaler jusqu’à la fin du mois d’août, avec des rencontres hebdomadaires et des mises au point. «Quant à la finalité de cette formation, nous prévoyons deux textes d’écriture : l’un pour enfants (conte ou légende) et l’autre pour adultes en langue maternelle, passant du social au drame», explique-t-il encore.

M A Tadjer

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