Des maladresses subsistent

Partager

Il est surprenant de constater, sept ans après la promulgation de la circulaire 426/07 par le ministère de l’Education nationale, concernant l’enseignement de tamazight, que certains collèges ignorent toujours le bon coefficient de cette langue. Sur le bulletin d’un élève scolarisé au CEM de Derguina, nous avons constaté que le coefficient relatif à cette langue est de 1, alors que normalement il est de 2 comme le stipule ladite circulaire. L’enseignement de la langue amazighe n’est plus à son stade embryonnaire, surtout dans les régions à majorité berbérophone, alors comment expliquer que de pareilles méprises continuent à être commises ? Une erreur qui est imputable vraisemblablement au logiciel de calcul de la moyenne générale installé sur le PC de cet établissement, selon certains. Mais il aurait été aisé avec plus de vigilance, d’éviter ce genre de gaucherie, et ainsi obstruer les portes à toutes les interprétations erronées qui peuvent en découler, vu que le sujet demeure sensible.

Saïd M.

Partager