«Notre blessure est toujours ouverte»

Partager

«Ce n’est pas facile de parler de mon défunt père en ces circonstances douloureuses. La blessure est toujours ouverte et ne se refermera sans doute jamais. Notre père nous a légué un fardeau lourd, difficile à porter. Sa ligne et sa manière de faire et de travailler ne sont pas à la portée du premier venu. Toutefois, ça nous fait chaud au cœur et ça nous réconforte un peu quand on entend dire autant de belles choses sur lui. La reconnaissance de la population est notre seul réconfort. Un grand merci à tous ceux et celles qui répondent présent annuellement pour lui rendre hommage, et merci aussi à toute la population d’Aïn Zaouïa qui n’a toujours pas oublié».

H.T.

Partager