La RN71 dans un piteux état

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La RN 71, une route dont le flux de véhicules n’est pas des moindres puisqu’elle relie à la fois Bouzegane, Illoula, Michelet, Ifigha  sans  nommer les autres patelins,  est dans un état piteux  aux grand dam de ses usagers. La chaussée affaissée, les nids-de-poule et les dos-d’âne agrémentent le quotidien des automobilistes qui parcourent près de 8 kilomètres en 25 minutes, soit une moyenne de 20 kilomètres à l’heure. La circulation ne reprend son droit qu’une fois arrivée au carrefour annonçant la bifurcation allant vers Ifigha. En plus de ce lot quotidien de désagréments, la route en elle-même est très sinueuse et moins large que les autres routes nationales. Est-ce le fait que ses accotements soient bondés de commerces ou simplement elle a gardé son format d’antan. Il faut rappeler qu’une fois la ville d’Azazga traversée, cette route qui continue jusqu’à Dellys et qui passe par Aghribs prend un autre aspect puisqu’elle a été réfectionnée en béton bitumineux, de même une fois le carrefour allant vers Ifigha dépassé et ce, jusqu’à Michelet. Seuls donc les 8 kilomètres dont on a fait mention restent dans un état lamentable. Pour rappel, cette route prend naissance de Michelet et va jusqu’à Dellys en traversant Azazga, Aghribs.

Un éboulement la détériore davantage

 la limite de la commune d’Azazga, plus exactement au  6ème kilomètre, un glissement de terrain sur la partie supérieure de la route vient ajouter son grain de sel à la circulation et surtout a détérioré davantage l’état de la chaussée. Enlever ce tas de terre restaurera certes la bonne circulation des véhicules, mais, Il faut noter, qu’un affaissement sur le côté bas s’est conjugué avec donc le glissement du talus supérieur rendant la situation plus compliquée que prévu . A cet endroit, il est pratiquement impossible de passer à vitesse normale, il faut ralentir et par conséquent des files de voitures se créent. D’autre part, même le sablage supposé remettre la chaussée à son niveau s’est détérioré suite aux dernières pluies. Les véhicules sont soumis à une intense activité qu’il leur serait impossible de ne pas subir des détériorations notamment pour ceux qui passent plusieurs fois dans la journée.  

D.F. 

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