Accueil Tizi Ouzou Le problème d’assainissement pris en charge

Larbâa Nath Irathen Cité des 96 logements : Le problème d’assainissement pris en charge

3021
- PUBLICITÉ -

Une lueur d’espoir semble se dessiner à l’horizon pour les habitants de la cité des 96 logements, appelée communément la cité «fantôme», au chef-lieu de la localité de Larbâa Nath Irathen, car leurs cris de détresse semblent avoir trouvé un écho.

- PUBLICITÉ -

En effet, un grand soulagement se lit désormais sur les visages des résidents de ladite cité lesquels ont retrouvé le sourire en voyant les équipes du service de l’hydraulique entamer les travaux, prenant en charge la rénovation du réseau d’assainissement qui leur pose problème. Cependant, suite à la réunion tenue par les résidents de la cité en question afin de se mobiliser pour sensibiliser les responsables locaux sur l’état des lieux de cet bloc datant de l’ère coloniale, qui, faut-il le dire, risque de s’effondrer à tout moment, plusieurs responsables ont fait le déplacement sur les lieux pour s’enquérir de la situation. En constatant de visu toutes ces carences, ils ont promis de les prendre en charge. Des promesses cette fois-ci tenues, puisque une équipe qui se chargera de réparer ces défaillances a été dépêchée sur le lieu, au grand bonheur des résidents. Pour avoir d’amples informations, nous avons approché plusieurs habitants de la cité en question qui nous diront : «cette fois-ci, les responsables locaux n’ont pas mis du temps pour répondre à nos doléances. En moins d’un mois après nos sollicitations, une équipe de l’hydraulique fut dépêchée pour entamer les travaux d’assainissement». 

Et d’ajouter : «Espérons bien que les autres demandes vont aussi trouver une oreille attentive, car l’état du bloc résidentiel est vraiment catastrophique. Si rien n’est entrepris à temps, il ne tiendra pas un autre hiver». «Nous souhaitons voir, après l’achèvement des travaux d’assainissement, ceux de la toiture et de la passerelle pris en charge à leur tour. 

Nous tenons à remercier vivement tous ceux qui ont pris en considération notre situation et étaient sensibles à nos craintes, à commencer par le premier responsable de l’hydraulique et toute l’équipe du journal La Dépêche de Kabylie», concluent nos interlocuteurs.                            

    Y. Z.

- PUBLICITÉ -