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Le point du jeudi : L’Algérien et les antibiotiques

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Par Sadek Aït Hamouda

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De ces remèdes qu’on doit prendre dans certains cas, les antibiotiques. Ces médicaments permettent de remettre en forme un malade, mais peuvent aussi le rendre plus malade qu’il ne l’était. Il faut revenir à l’origine de cet antidote, qui combat les germes qui colonisent notre corps et l’esquintent parfois. Les anticorps que nous portons chacun en soi, à quoi ils servent en fait ? Toute personne soucieuse de sa santé doit se prémunir et compter sur son corps, pour rester en bonne santé. Il va sans dire que bien des remèdes sont susceptibles d’apporter la guérison à un corps malade et le prémunir contre d’autres ennuis. Mais il peut ne s’agir que d’une rémission. Il arrive que l’on se croie guéri d’un mal, pour se découvrir, malheureusement atteint d’un mal qu’on ne soupçonnait pas, au-delà des visites, des osculations diverses et nombreuses, chez divers spécialistes qui ont laissé tomber le verdict du mal qui frappe le patient et décident de lui prescrire des traitements à l’antibiotique et autres. Le malade algériens, le pays est classé parmi les plus gros consommateurs d’automédication, en prend à tort et à travers, sans prescription du médecin. Ce qui entraîne une résistance du corps à la substance. Et il n’y a aucune fierté à tirer du fait de caracoler parmi les gros consommateurs, sans ordonnances et sans avis médical. L’essentiel est de suivre les conseils de son médecin traitant et faire en sorte que son corps réagisse normalement aux maladies. Nourrir les anticorps, c’est se soigner. L’attention portée à soi préserve la personne et la protège de tous les maux. Les antibiotiques sont parfois seulement prescrits par les thérapeutes, ils ne doivent en aucun cas être utilisés pour n’importe quoi et en tout moment. Nous devons apprendre à réduire nos addictions aux produits médicamenteux de toutes sortes.

S. A. H.

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