Pose d’une pelouse synthétique

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Le terrain matico de la cité Ahmed Khalil, au centre-ville de Draâ Ben Khedda, est en passe d’avoir sa pelouse synthétique. L’entreprise réalisatrice est à pied d’œuvre sur le terrain qui refait peau neuve après plusieurs aménagements dont les travaux ont traîné en longueur. Un fait qui a pénalisé des dizaines de jeunes de la cité et des quartiers voisins, notamment en ce mois de carême où les jeunes ont besoin d’occupations. La pose de la pelouse se fait doucement mais sûrement. La patience des jeunes sportifs de la ville tire donc à sa fin. «Enfin, nous aurons un stade avec une pelouse synthétique qui nous évitera de nombreux accidents», nous dira un jeune habitué des lieux. Un autre lui emboîte le pas et nous affirme : «c’est une bonne initiative de l’APC que nous remercions de consentir beaucoup d’efforts pour arranger les choses». Son voisin interviendra disant : «L’APC doit être au service de la population. Il y a de l’argent et les projets doivent être inscrits, sur toute la commune !». Les stades de la cité Fethi et Mahmoudi attendent eux aussi avec impatience leur pelouse synthétique. Ces trois stades ont été retenus dans le cadre des PCD. Le trottoir longeant cette cité et sur lequel nous n’avions pas cessé d’attirer l’attention des autorités, n’est pas encore achevé. La pose du carrelage se fait au ralenti. Et la partie déjà achevée nécessite un suivi et un contrôle pour éliminer les malfaçons qui pourraient y être relevées. Quant à l’aménagement du carrefour, à l’entrée Est de la ville, il se poursuit. Il faudra certainement attendre la fin du Ramadhan pour voir les travaux avancer de manière sérieuse. Il est inconcevable de constater des tas de terre, hauts et larges de plusieurs mètres non encore levés devant un établissement scolaire, tel le CEM Raïah au centre-ville. Ils sont là depuis plusieurs semaines, laissés en l’état par l’entreprise chargée des travaux des nouvelles conduites de gaz vers la cité Caper. Ils gênent au plus haut point la circulation des piétons et causent des désagréments aux commerçants de la rue. Aux premières pluies, il faudra s’attendre au pire !

Arous Touil

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