Les joueurs exigent leur argent

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Les joueurs de la saison dernière sont revenus encore une fois à la charge pour exiger la régularisation de leur situation financière avant le déplacement au Congo, dimanche prochain. D’ailleurs, en dépit des promesses données par le président Attia, les joueurs n’ont pas encore perçu leur argent. Et c’est la raison pour laquelle les Rahmani, Baouali et compagnie,ne comptent pas se taire et menacent de ne pas effectuer le déplacement au Congo. Pourtant, les joueurs ont réussi leur mission en se classant 2e du groupe derrière le TP Mazembe, et sont en pole position avec cette équipe pour se qualifier au carré d’as de cette compétition africaine. Alors, c’est aux dirigeants d’accomplir leur devoir envers les joueurs qui se sont sacrifiés pour permettre au MOB de se distinguer dans cette coupe de la CAF.

Ils refusent de remettre leurs passeports

Les camarades de Ferhat ne comptent pas rester les bras croisés puisqu’ils sont déjà passés à l’action, en refusant de remettre leurs passeports pour l’obtention des visas. Ils attendent que le président tienne sa promesse en régularisant leur situation financière. Pour rappel, les coéquipiers de Messaoudi ont perçu un mois de salaire après leur retour du Ghana, mais ils attendent toujours deux autres mois comme promis par Zahir Attia. Mais finalement rien n’a été fait et le boss se retrouve à nouveau pression et il devra activer pour régulariser les joueurs, et ce, dans les plus brefs délais.

Attia de nouveau sous pression

Le premier responsable du MOB, Zahir Attia, qui subi une forte pression, ne sait plus à quel sain se vouer. Attia qui avait promis à ses joueurs de les régulariser sur le plan financier dès le retour de l’équipe du Ghana, n’a finalement rien fait dans ce sens. Ce qui a mis les joueurs en colère, lesquels menacent à nouveau de ne pas se déplacer à Lubumbashi pour affronter le Tout Puissant Mazembé pour le compte de la 4e journée de la phase des poules de la coupe de la CAF. La balle est donc dans le camp des responsables, à leur tête le président Zahir Attia, qui doit régler ce problème d’argent une bonne fois pour toutes.

A. K.

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