La JS Azazga qui a été tenue en échec la semaine passée sur son terrain (0 – 0) devant le CRB Ouled Djellal est appelée à effectuer demain un périlleux déplacement à Rouiba. Il y affrontera le WAR local qui joue sa survie dans cette division. Ce sera une rencontre à six points pour les deux équipes qui se battent pour leur maintien. La mission s’annonce délicate pour les Azazguis, qui doivent être costauds derrière et percutants devant, pour prétendre à un bon résultat demain. Les dirigeants ne cessent de motiver les joueurs afin qu’ils gardent leur concentration et attaquent ce match avec toutes leurs forces et sans faute, car un autre faux pas pourrait compliquer la situation de l’équipe au classement. La bataille sera rude pour le maintien et les Azazguis doivent cravacher dur, pour atteindre cet objectif et surtout éviter de revivre les scénarios des précédentes saisons, où ils ont failli rétrograder en division inférieure. La balle est donc dans le camp des joueurs, seuls acteurs, en se battant comme des guerriers sur le terrain pour revenir à la maison avec un résultat positif et avec un moral au beau fixe. Rien ne peut empêcher les Rouge et Noir de croire en leur belle étoile, car ils ont les moyens de réaliser un résultat positif à Rouiba et il suffit juste de rester concentrés du début jusqu’au coup de sifflet final de l’arbitre.
«À Rouiba pour réaliser un bon résultat»
Le coach des Rouge et Noir, Hocine Chikhi, ne veut en aucun cas rater le match de demain au stade de Rouiba, et veut de ses joueurs une concentration maximale pour s’offrir la victoire ou à défaut arracher le point du match nul. «On a raté deux précieux points la semaine passée face au CRB Ouled Djellal. Maintenant on doit aller récupérer ces points au stade de Rouiba face au WAR. Ce sera certes difficile, face à un adversaire qui se bat pour le maintien. Mais nous aussi, on est menacés de relégation et on doit arracher la victoire ou revenir avec au moins le match nul pour rester éloignés des équipes du bas du classement. Les joueurs sont conscients de la lourde tâche qui les attend et je leur fais confiance».
A. M.