Les anciens de la JS Kabylie invités d’honneur

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Dans le cadre de ses activités, le GAFOB, (Groupe d’anciens footballeurs de Bouira) a organisé, samedi dernier, une joute amicale au niveau du stade Bourouba Saïd, à la mémoire de feu Sedkaoui Hadj Larbi.

Ce dernier était l’un des membres-fondateurs du Mouloudia Club de Bouira en 1947, actuel MB Bouira, en compagnie de feu Sidhoum Djaafar. Ainsi, ce mémorial, qui coïncide avec la 70ème année de la création de ce club mythique, a été marqué par cette joute amicale entre les anciens du Mouloudia de Bouira, conduits par les Tabouni, Ferrah, Sedkaoui,… et ceux de la JS Kabylie, conduits par les Iboud, Abdeslem, Driouèche, Hamenad et autres.

La rencontre, qui s’est déroulée en présence d’anciens footballeurs, du DJS de Bouira et d’autres personnalités de la région s’est terminée en faveur des gars de Bouira. Pour le président du GAFOB, Sedkaoui Mohand Amokrane, qui n’est autre que le fils de feu Hadj Larbi Sedkaoui, «cette action entre dans le cadre des activités de l’association créée en 2000, qui s’est assigné l’objectif d’organiser, entre autres, des jubilés et des hommages à d’anciens footballeurs».

«Le GAFOB, déclare notre interlocuteur, avait même tenté d’investir dans la formation des jeunes, une expérience qui a duré 12 années avant de s’estomper». Pour rappel, feu Sedkaoui Hadj Larbi a beaucoup donné au sport roi dans la wilaya, en créant le MBB, qui a vu le jour en 1947, suite à des réunions au niveau d’un Hamman appartenant à feu Sidhoum Djaafar, qui allait également devenir son membre-fondateur.

Omar Hamenad, ancien portier de la JS Kabylie et ex-entraîneur du MB Bouira (2012 / 2013), dispose : «C’est avec plaisir qu’on a répondu à cet appel pour partager ce moment de rencontres et de retrouvailles avec d’anciens joueurs». Concernant la décadence de la JSK, l’ex-portier de cette dernière affirme ne pas trouver de mots pour exprimer son amertume : «Je ne peux exprimer ce que je ressens. Voir cette équipe de la JSK en pleine déroute, nous fait souffrir. Il faut que les choses changent !», dira-t-il.

M’hena A.

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