L’éclairage public fait défaut

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Les habitants de certaines cités de la ville de Aïn Bessam, notamment ceux des quartiers des cités 500 logements, les Tours, l’ECOTEC, et autres, ne désespèrent pas de voir un jour leurs routes éclairées de nuit et non pas de jour, comme c’est le cas actuellement. Alors que certains quartiers ont bénéficié dans le cadre de l’aménagement urbain, d’un nouveau réseau d’éclairage public, plusieurs riverains du quartier ECOTEC nous ont signalé que cet éclairage, fraîchement rénové demeure « toujours défaillant. Seules quelques lampes fonctionnent encore. Nous ne savons pas si cette défaillance est due à un défaut dans la réalisation du réseau lui-même ou bien à l’entretien défaillant », s’interroge un habitant de cette cité. A souligner que, depuis peu, les services techniques de l’APC d’Aïn Bessam ont lancé une campagne de remplacement des lampes en plusieurs endroits de la ville, notamment au centre. Ces réparations, comme d’habitude, se font périodiquement, chaque mois de septembre, et il n’est pas rare de constater que certains réverbères sont allumés de jour, mais pas de nuit. Ainsi, dans les rues animées, si le bon fonctionnement des réverbères permet la circulation nocturne des citoyens, il n’en est pas de même dans certains quartiers comme celui d’El B’hayeres ou de la citée dite « Sociale ». La pénombre y est telle que l’on ne risque pas de s’y aventurer en pleine nuit, d’autant plus que le nombre de chiens errants n’est pas pour rassurer les riverains. Les citoyens s’interrogent, dés lors, sur l’immobilisme des services concernés, surtout sur le silence des élus locaux. Des citoyens qui affirment avoir interpellé toute les instances, en plusieurs reprises, sans avoir reçu, pour autant, une quelconque explication.

Oussama K.

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