Signature d’une convention entre l’ONEM et une clinique médicochirurgicale

Partager

Dans le cadre de ses actions et des initiatives envers les enfants de moudjahidine, l’organisation nationale des enfants de moudjahidine (ONEM), bureau de Boghni, a procédé samedi dernier à la signature d’une convention avec la clinique médicochirurgicale Nord Afrique de Boghni, représentée par son gérant, le docteur Kessi. Le but de cette convention liant les deux parties, est la réduction des tarifs des soins pour les enfants de moudjahidine,leurs parents et les ayants droit. Après une visite des lieux, guidée par le docteur Kessi, un hommage appuyé a été rendu à ce dernier pour avoir concrétisé un tel projet qualifié de noble et d’unique en son genre, dans la daïra de Boghni. Après la signature de la convention, le praticien a reçu, en guise de soutien et de reconnaissance, une médaille et un diplôme d’honneur, qui lui ont été remis par les responsables de l’ONEM. Parmi les nombreux invités qui ont pris part à cette cérémonie, l’on peut citer, M. Tayeb Mokadem,secrétaire de wilaya de l’ONEM, Mme Larfi, cadre au MES, M. Belhadj, Mme Kasmi, M. Boutheldja, ainsi que les députés, Mme Aït Merar et maître Azouaou, en plus des membres de la famille révolutionnaire de la région et des représentants de la société civile de Boghni. Après la cérémonie, l’imposante délégation s’est dirigée vers la mosquée de Boghni, actuellement en extension, pour une visite symbolique. En fin de matinée, les présents se sont rendus à la demeure Akham Nechikh L’Vachir, pour présenter leurs condoléances à Chikh L’Vachir et prendre part à la waâda offerte à cette occasion et à laquelle plusieurs centaines d’invités ont pris part. «La famille de Chikh L’Vachir dont la notoriété dépasse les frontières de la Kabylie est réputée depuis des générations pour avoir toujours volé au secours des démunis, des orphelins et des sans-abris qui la sollicitent», nous a confié un jeune orphelin, aujourd’hui marié qui a vécu depuis sa tendre enfance dans la grande demeure de Chikh L’Vachir.

Saliha Laouari

Partager