L’état de la voirie dans la ville de Boghni ne cesse de se dégrader en l’absence de travaux d’entretien du réseau, notamment de la voie publique sur tout le périmètre urbain.
Certains endroits, plus que d’autres, sont devenus de véritables bourbiers à l’exemple de la rue donnant accès au marché des fruits et légumes, du côté de la cité des 18 logements, transformée en terrain poussiéreux en été et boueux en hiver, rendant ainsi la circulation des automobilistes plus difficile.
Celle-ci devient infernale en empruntant la route menant vers le stade communal pour rallier la cité Chouhada, du fait que la voie carrossable est complètement défoncée, suite à l’accomplissement des travaux de réalisation d’un ovoïde, mettant fin d’une manière effective aux inondations qui survenaient aux alentours de la rue des frères Zamoum, mais sans que ce d’autres travaux de remise en l’état de la voirie n’interviennent, du moins pour combler ou réparer les nid-de-poule. Cet état de fait n’est pas propre seulement au seul endroit cité du moment que les habitants des cités comme celle des 200 logements et de Tirmitine, constituant un nouveau site de concentration de logements sociaux, ne sont pas mieux lotis en réseaux de voies de communication à même de constituer des chemins où l’on peut circuler sans difficultés, à l’aide d’un véhicule ou à pied. Si pour le premier cas, il s’agit de route dégradée menant vers la cité pour les locataires des logements sociaux de Tirmitine, l’accès se fait en traversant une piste ouverte depuis plus d’une décennie, laissée en l’état et sans faire l’objet d’une quelconque opération de réaménagement du chemin tracé pour servir de passage du matériel roulant des entrepreneurs.
C’était au début de la création de la nouvelle zone d’habitation, programmée au même titre que tout le centre urbain pour bénéficier du grand projet appelé amélioration urbaine, un projet, faut-il le rappeler, resté sans suite depuis 2007.
M. Haddadi

