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Les citoyens du chef-lieu réclament un nouveau lycée

Les habitants de la ville de Mekla réclament la construction d’un lycée, une nécessité pour eux du fait que la seule infrastructure du genre déjà existante «ne répond plus aux besoins de la population de la région, en nette croissance démographique», lit-on dans un document de l’association Tafsut de Mekla, transmis à notre rédaction.

C’est dans une lettre adressée au ministre de l’éducation, il y a de cela deux ans, que les habitants de Mekla ont voulu, à travers l’association Tafsut, exposer les manques dont souffre l’actuel lycée dont l’état ne cesse d’empirer. Ils demandent, par la même occasion, la construction d’un nouvel établissement plus apte à répondre aux besoins de la ville et de sa population. Ainsi, lit-on dans le document, « l’actuel lycée est une infrastructure ouverte en 1990 et construite en préfabriqué ». Une matière qui, comme il a été prouvé « enregistre la présence de matières cancérigènes. En plus de la chaleur insupportable en saison estivale à partir du mois d’avril », ajoutent les représentants de l’association dans leur lettre. Ainsi, pour eux, « l’actuel lycée a surtout vécu son ère, mais aujourd’hui, il n’offre plus les commodités permettant un bon enseignement ». Abondant dans le même sens, les membres de l’association parlent de plusieurs manques enregistrés, notamment par « l’absence d’un laboratoire et d’une salle d’étude ». Les membres de l’association Tafsut n’omettent pas de signaler que l’actuel lycée a, de tout temps, « réalisé de bon résultats au BAC. Mais il n’en demeure pas moins que la réalisation d’un nouveau lycée à Mekla s’impose », terminent-ils.

T. M.

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