Installation d’une 2e pompe d’évacuation des eaux pluviales

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Les travaux d’installation de la seconde pompe d’évacuation des eaux pluviales, ont été achevés définitivement hier dans l’après-midi. Après une perturbation de la circulation des véhicules au centre-ville de Dar El Beïda qui aura duré un peu plus d’une semaine. Notons à cet effet que ce projet dont les travaux d’aménagement sont en cours de finalisation consiste en la mise en place d’une trémie passant en dessous des rails pour faciliter la circulation des automobilistes. Ainsi, après seulement deux mois depuis que le ministre des travaux publics, Amar Ghoul, ait inauguré la trémie, les citoyens de la ville ont été surpris par l’arrêt “inexpliqué” du moins pour eux de la circulation des voitures à ce même niveau. “La plupart des habitants pensèrent que cela était du à un travail mal fait qui pourrait mettre en danger la vie des gens”. Contacté hier dans la matinée par nos soins, les responsables du ministère nous ont expliqué, en nous rassurant qu’il s’agit là que de la finalisation des travaux de la trémie. Ainsi, on nous a orienté vers le chef de projet qui nous a reçu sur le chantier, pour nous informer de la nécessité de l’opération d’installation de la deuxième pompe d’évacuation des eaux pluviales, dont la capacité est estimée à 70 litres par seconde. “Ce qui porte la capacité totale des deux pompes située en dessous de la trémie à 170 L évacués en une seconde”, dira le chef de projet qui ajoute que ce qui reste pour l’heure, ce sont les travaux de l’aménagement qu’on est en train de finalisé, ainsi que la construction d’une passerelle au-dessus de la trémie qui facilitera le passage des piétons qui empruntent pour le moment la trémie, chose qui présente un danger”. Les travaux d’étude et de réalisation de la passerelle, qui ne sont pas compris dans le projet de la trémie, réalisée par le groupement ETRHB/GNGEDA dans une période de 7 mois, seront confiés à une entreprise publique. Un ouvrage qui sera livré avant fin 2005, nous confirme le chef de projet.La tâche la plus délicate, voire ardue à accomplir par la suite est confiée aux autorités locales de Dar El Beïda. “Les travaux d’entretien.”

Sabrina Bouras

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