Le chemin qui relie la commune d’Agouni Gueghrane au chef-lieu de la commune des Ouadhias est a la limite de l’impraticabilité laissé sans entretien ni encore plus sans revêtement. En effet, les habitants se disent pénalisés par la dégradation de leur réseau routier. Un axe de plus de 8 km, abîmé dans plusieurs endroits, des cratères et parsemé de nids de poule. Ce qui ne laisse aucune chance aux automobilistes d’éviter ces pièges susceptibles de causer des dégâts matériels aux véhicules. Le chef-lieu de la commune est dans un état des plus chaotiques : ni trottoirs, ni avaloirs ni encore moins la chaussée : «Le chef-lieu ressemble à une piste non aménagée, nous continuons de crouler dans la boue et la gadoue, rien n’est dans son état dans la municipalité plusieurs carences sont signalées, ici et là ni gaz, ni éclairage, ni route». Quant à la route qui relie la commune du village d’Aït Argane, un village situé au milieu de la montagne, elle est aussi truffée de nids de poule dans plusieurs coins, une route déjà rétrécie et avec ses virages nécessite la prise en charge dans les plus brefs délais, notamment en cette saison glaciale, avec le risque de dérapage.«No routes sont bloquées pendant des jours à cause de la neige et du verglas rendant la circulation des plus difficiles». Par ailleurs, au chef-lieu de la commune de Ouadhias, l’on a constaté des dégradations au carrefour menant vers le lycée Seghoune et Aït El Kaid, à Kalitous avant le barrage de la police, et autres lieux. Dans la commune de Tizi N’Tleta, le réseau routier doit être refait, les travaux d’AEP ont endommagé la chaussée, sans que cela soit remis en l’état.
K. B.