«On n’a pas le droit de rester les bras croisés»

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«Il faut que l’on finisse avec la parlote et que l’on passe aux actes. On entend beaucoup de choses ici et là et cela n’est pas fait sans provoquer des dissensions au sein du club. Aussi, si nous avons appelé les anciens joueurs et dirigeants à la réunion, car c’est à eux que revient de discuter les décisions de l’avenir de leur club. Notre initiative c’est de donner un coup de main et de faire en sorte que la JSK dépasse cette crise. En ce qui me concerne, je ne vise rien, ni poste ni autre chose. Mon souci est que la JSK qui est la fierté de la région sorte de cette situation. Notre initiative c’est tout simplement de permettre au club d’aller de l’avant.

Les supporters se sont soulevés pour dire Barakat et nous n’avons pas le droit de rester les bras croisés. Nous allons nous réunir et chacun doit dire son mot et donner son avis sur la situation actuelle que traverse le club. Maintenant, si la majorité opte pour un changement, nous allons nous rapprocher des dirigeants actuels pour porter à leur connaissance la résolution des anciens joueurs et dirigeants. Quant au capital, je préfère ne pas trop m’étaler la dessus, je dirai juste que dans tous les cas, le CSA/JSK est majoritaire. Pour revenir à la réunion de demain, nous avons pris attache avec plusieurs membres qui nous ont donné leur accord, mais il fait attendre demain pour voir combien répondront présents. J’espère qu’ils seront nombreux à venir. Encore une fois, si nous avons appelé à cette réunion, ce n’est pas pour nous battre et régler des comptes, c’est tout simplement dans le souci de faire le point sur la situation que traverse le club et trouver des solutions pour permettre à la JSK d’aller de l’avant»

S.K.

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