«Par manque de courage, personne n’ose dénoncer ouvertement la mauvaise gestion du club !»

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«En ce qui me concerne, je continuerais à dénoncer la mauvaise gestion. Ça fait 20 ans depuis que je le fais et ce n’est pas aujourd’hui que je vais me taire. Je ne vise rien : ni poste ni autre chose. Je le fais pour le seul intérêt de la JSK, mais je n’ai pas été soutenu, comme c’était le cas en 2006, où tout le monde m’a abandonné. Je demande qu’on arrête de coller des étiquettes à ceux comme moi qui parlent ouvertement de mauvaise gestion. C’est un manque de courage de ne pas le faire , car tout le monde pense pareil que moi. Ça parle de la mauvaise gestion du club dans les cafés, dans les rues, les foyers &hellip,; mais personne n’ose dénoncer ouvertement cet état de fait que d’aucun n’ignore. C’est encore une fois un manque de courage qui n’est pas fait pour permettre au club de retrouver son lustre d’antan. Pour ce qui est de la commission de réflexion, elle est autonome et je n’en fais pas partie. Cela dit, je n’ai pas, du moins pour le moment, à donner un quelconque avis. Elle est chargée d’une mission et j’attends qu’elle remette son rapport à ceux qui l’ont désignée et c’est à partir de ce rapport que je peux me prononcer».

S. K.

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