«Tizi-Ouzou vient de perdre, après Chérif Khedam, un autre monument de la culture. Je suis venu accompagner le poète à sa dernière demeure et présenter mes condoléances à la famille du défunt ainsi qu’à la grande famille de la culture et l’art. Le défunt était non seulement un symbole, mais aussi un exemple du patriotisme, lui qui, pendant la révolution, a milité au péril de sa vie. Après l’indépendance, il s’est consacré non seulement à la formation de générations entières, mais aussi à perpétuer et à préserver la culture berbère en contribuant à sa grandeur et à sa diversité »
«Il fut un symbole de patriotisme»

