Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la femme, le directeur général de la Sûreté nationale a présidé hier à Alger une cérémonie de gratification des femmes moudjahidate, représentantes de la société civile et les femmes journalistes de la presse nationale.
La cérémonie a été organisée à l’école supérieure de la police Ali Tounsi où le directeur général de la DGSN, Abedelghani El Hamel a honoré des femmes moudjahidate, des présidentes des associations et des femmes journalistes, en leur remettant des présents symboliques, en guise de reconnaissance pour leur dévouement dans le travail.
A cette occasion, le directeur général de la DGSN a adressé un message aux fonctionnaires femmes de la police lu par le commissaire Khalida Imassoudane, dans lequel il a exprimé ses sincères félicitations à la femme algérienne en général et à la femme policière en particulier dont l’Algérie compte pas moins de 14 472. Le même responsable a tenu à affirmer que la célébration de la Journée mondiale de la femme intervient cette année dans un contexte politique et social différent. “La célébration de la Journée mondiale de la femme intervient dans le cadre des réformes politiques mises en place par le président de la république, notamment à travers l’élargissement de quotas de la femme dans les assemblées élues», a estimé le général-major, Abedelghani El Hamel. Estimant que la loi organique relative à la représentativité de la femme dans les assemblées élues cible à promouvoir davantage la participation de la femme algérienne dans la vie politique. Le directeur général de la DGSN n’a pas manqué de mettre en exergue également le rôle de la femme policière, qui a su s’imposer dans le corps de la Sûreté nationale, ce qui lui a permis d’accéder aux plus hauts grades et postes. La cérémonie a été marquée également par un riche programme mis en place par la DGSN, à savoir la projection d’un reportage court-métrage portant sur le rôle de la femme policière. Une exposition de photos a été organisée au musée central de la Sûreté nationale, mettant en relief les valeurs de la femme algérienne en général, et policière en particulier au sein de la société.
Samira Saïdj