Le chouchou fils de Timezrit, Massi Afia a terminé les dernières retouches de son nouvel album qui sera sur le marché à compter du 25 de ce mois d’avril, nous fera savoir ce dernier. Un produit, dit-il, composé de 6 titres dont le titre éponyme est Adjebril Assettar. Ce nouveau produit où la musique et les paroles font un heureux mariage comme indiqué par son auteur, sera un ensemble où des mélodies modernes sont associées à la thématique sensuelle. Yellis Oukartier, Adjebril Assettar, Matchi Dhketchi I Dhamenzou, Assed, Oursaigh, Goullegh, est en somme le contenu de cette nouvelle œuvre qui sera disponible en format CD et que les fans auront la joie et le plaisir d’écouter. A vrai dire, en écoutant ce chantre, on aura vite l’impression qu’il ne fait pas dans le travail bâclé et cela dans la mesure où il peaufine toujours ses musiques et soigne ses paroles. Tantôt rythmées, parfois calmes, ses mélodies s’avère au final, enivrantes et originales. Fidèle à son style en faisant l’intimiste pour dire des vérités et aborder la thématique de la vie dans certains de ses états que tout le monde ne connait pas forcement, le nouveau CD de Massi connaitra indubitablement une sortie fracassante à l’image des précédents albums à son actif, qui n’ont pas manqué d’être tous couronnés de réussite. C’est ainsi de fil à l’aiguille que l’auteur de la fameuse chanson D’ssiaaka Ma Thaghlid Fellak, a réussi en un laps de temps très court pour un débutant à s’imposer comme un chanteur incontournable de la scène artistique locale.
Il convient de souligner que ce nouvel album est édité pat le studio Irath dans la wilaya de Tizi-Ouzou dont trois chansons écrite par Lyes Yahia Cherif. Par ailleurs, Massi Afia a suivi une formation dans le domaine musical à Tizi-Ouzou, en plus de trois CD sortis successivement en 2008, 2010, 2011, il est également l’auteur de la générique du film Imtaouen L’efrak du jeune réalisateur Nassim Boumraou. De son côté le chanteur en question adresse ses remerciements à Afia Moustafa, Ali Moussaoui sans omettre Afia Houcine et les gens de la presse, notamment La Dépêche de Kabylie.
Mohamed Haddad