La commune de Saharidj compte parmi les rares municipalités de la daïra qui n’a toujours pas son cimetière communal. Le terrain qui servira d’assiette pour son implantation est pourtant désigné par la commission des choix de terrains de la daïra de M’chedellah, il y a de cela plus de quatre mois, mais son enveloppe ne lui a toujours pas été accordée. Les cimetières familiaux où les citoyens de la région enterraient leurs défunts depuis toujours sont déjà saturés, et ces derniers ne comprennent toujours pas ce retard prolongé dans la réalisation du cimetière communal qui ne coûte pourtant qu’une enveloppe minime. A noter que dans ce genre de projet les populations kabyles à l’image de ceux de cette région sont réputés pour être “actionnaires en moyens financiers”.
O. S.
