Un Ramadhan non stop

Partager

La première dizaine d’animation du Ramadhan, les nuits de Yemma Gouraya ayant été quelque peu chiches en grosses vedettes, la maison de la culture a mis à l’affiche, histoire de meubler les lieux en attendant les stars, plusieurs groupe de jeunes et de moins jeunes. Pour certains, il s’agit d’une confirmation, pour d’autres qui, à l’occasion faisaient leur baptême du feu, il est plus question de gravir les premières marche de la gloire de la célébrité, les deux mamelles de la réussite. Si le kabyle, moderne et chaâbi s’est taillé la part du lion, rap, rai, n’ont pas drainé la grande foule, les mélomane se réservant sans doute pour les valeurs sûres de la chanson algérienne : Allaoua l’étoile montante, Malika Domrane La diva, Bâaziz le roi de la protest song, Hassen Ahrès la valeur sûre, Kaci et Louabia Boussaâd le duo terrible d’Akbou, Akli Yahiaten le patriarche, Hassiba Amrouche la “Tina Turner” locale, Kaci Abdjaoui l’indétronable crooner et l’immense Aït Menguellet, le barde intemporel.

M. R.

Partager