L’d jenet n’est donc pas forcément aussi paradisiaque que ne le pense le commun des inconditionnels de Taraouih. La vérité est peut être ailleurs, dahi, dans la tête de diligi n Ighzer n Walu qui, après avoir foulé des pieds le jardin d’Eden, saisit à quel point tout perdu qu’il est, son Ighzer n Walu d idjenet d’nnefs d xemsa wacrin”, Ghas akken il est limité deg tamsal agi n les considération qui exigent attas n uxemem, Popeye a tiré la conclusion qu’il n’a pas plus belle Eve que sa Mikouassa Ughanim, son amour clandestin et plus beau jardin d’Eden que sa Tamazirt Umalu, lopin de terre hérité si ljed n jed n jed-is.Il rappelle un peu nana-s Sekkura cette femme qui avait perdu le sens de la mesure, le jour où elle avait retrouvé son mari disparu depuis cinq ans et que l’on disait mort.Popeye frappe à la porte et entre. Personne dans la famille ne semblait lui prêter attention. Il était étonné de ne pas voir l’étonnement dans les yeux de sa mère, on père, ses frères et sœurs. “Assieds-toi Akli ! tura ara yedden”, l’invite sa mère la seule à l’appeler par son prénom. Popeye se rend compte que c’est Ramadhan et que son inig dans le temps n’avait duré qu’une demi-journée. “Et si ce n’était qu’un rêve ?”, se demandait-il. De toute façon, rêve ou réalité, c’est un autre Popeye qui retrouve Igzer n Walu.Le grand Bodhisattava est né à Ighzer n walu. Les nouvelles vérités aussi. Première vérité : tout est souffrance.Deuxième vérité : l’origine de la souffrance est dans le désir.Troisième vérité : il existe un état de cessation de la souffrance. Quatrième vérité : il existe un moyen d’atteindre cet état de cessation de la souffrance.
Xuxuc