L’étude de ce projet a été achevée et une somme colossale lui a été dégagé mais les travaux ne sont pas encore entamés.
Le projet de réalisation d’un ovoïde de 1,6 km inscrit pour la commune de Ouadhias ne voit toujours pas le jour. Un oued qui charrie toutes les eaux usées à travers la municipalité constitue un danger permanant aux riverains, aux écoliers et même aux petits enfants de la crèche. «Nous souffrons de cet oued qui empoisonne la municipalité avec les odeurs qu’il dégage, la vie devient insupportable. Nous souffrons le martyre. Le danger est permanant et nos enfants sont les plus exposés au danger des maladies à transmission hydrique», fulminera un habitant résidant de la cité 75 logements. Il y a lieu de noter que l’étude de ce projet a été achevée et une somme colossale lui a été dégagé mais les travaux ne sont pas encore entamés. «D’ailleurs, ce projet est non seulement retardé cependant, il bloque même d’autres projets, le CET à titre d’exemple, c’est dire que les responsables concernés doivent lancer ce fameux projet pour relancer les travaux du centre d’enfouissement», souligne-t-on. Par ailleurs, le quartier Elma N’slah dans la commune de Tizi N’Tleta souffre aussi du problème environnemental. Ce quartier est dépourvu d’un réseau d’assainissement. Les eaux usées et les égouts sont acheminés dans la nature causant une myriade de désagréments à la vie de la population.
B. K.