Face au manque d’animation durant les soirées de Ramadhan, les cybercafés sont pris d’assaut dès la rupture du jeûne. La dizaine de cybercafés que compte cette ville affichent tous complet, dès les premières minutes après le f’tour. Une virée dans ces lieux, nous renseigne clairement à ce sujet. Difficile de trouver une place libre en y arrivant. Il faudra attendre une heure ou deux pour qu’un poste se libère. Les férus de la toile surfent sur les différents réseaux sociaux, particulièrement face book, cherchant l’évasion et un peu de distraction. En ces veillées de Ramadhan, le manque criant d’animations culturelle et artistique est si difficile à combler que les cybercafés sont devenus des endroits privilégiés pour de nombreux citoyens.
M. A.
