Des projets en suspens

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C’est la cas par exemple de la maison de jeunes de Tizi-Guefres avalisé en 2004, dont le coût a été estimé à cinq cents millions de centimes mais dont les travaux n’ont toujours pas démarré à ce jour, « alors que d’autres programmes similaires, inscrits bien après les nôtres ont été finalisés », dira A. Iberkoukène, membre du comité de ce village.

Autre projet n’ayant pas été concrétisé l’aménagement de la fontaine du village de Boumessaoud, située au lieu dit « Ighzer Ali », d’après H. Amara, membre du comité du village : « Ce projet stagne depuis 2010 ». Beaucoup d’autres qui touchent la majorité des villages de la commune, ont leurs fiches techniques qui dorment dans les tiroirs de l’APC, comme la réparation des réseaux d’assainissement qui sont défectueux, car dans la plupart de leurs cas, les conduits passent au dessus de sources d’eau, qu’ils ont transformées en de véritables foyers de prolifération de moustiques, de microbes et de rats et menacent la santé des consommateurs de ces eaux par la transmission de maladies( MTH), particulièrement en période de grosses chaleurs. La situation est telle à Ahfir, chef-lieu communal, Boumessaoud et Aït Ouatas, selon, les déclarations de leurs chefs de village suscités, à savoir : A. Ahmed, H. Amara et A.Mourad. Contacté le P/APC d’Imsouhal refuse la moindre approche pour une éventuelle explication.

Madjid Aberdache

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