Des laboratoires algériens de contrôle anti-dopage du premier échantillon seront agréés par le bureau fédéral de la fédération algérienne de football (FAF), a-t-on appris auprès de cette dernière. Cette décision fait suite à la fermeture du laboratoire de Tunis et du coût excessif des laboratoires européens (500 euros par analyse), a expliqué la même source, précisant au passage que si le premier échantillon est contrôlé positif, un second test sera envoyé à un laboratoire agréé par le Comité international olympique (CIO) à la charge du joueur ou du club. Dans le même registre, le bureau fédéral, réuni mercredi à Alger, a instruit la commission médicale de la FAF pour renforcer le contrôle anti-dopage, à l’occasion des rencontres des championnats de football professionnel.
Des défibrillateurs pour les clubs de Ligue I et II
Par ailleurs, une étude scientifique et statistique sur les blessures des joueurs sera réalisée, cette saison, par la commission en question, en étroite collaboration avec les médecins des clubs professionnels de la ligue Une, annonce un communiqué de la première structure footballistique en Algérie. La FAF a informé également, qu’elle livrera, cette semaine, à chaque club professionnel, un défibrillateur pour les besoins d’urgence au cours des entraînements des équipes ou au cours de toutes les rencontres des championnats de football professionnels (L1 et L2), avertissant que « toute absence du défibrillateur au cours d’un match officiel sera sanctionnée par une amende financière égale au coût de l’appareil ».