Suite à l’article du 06 octobre paru en page 02 de votre journal, je vous prie d’insérer cet éclaircissement. La dame en question habite chez son fils adulte, au niveau des 18 logements à Ahnif centre (en location). Le même fils a bénéficié d’un logement RHP à Ighil N’ATH Amer.
Mieux encore, elle-même a bénéficiée d’un logement social OPGI à Ighzer Oumeziav, son village où elle résidait durant la distribution du quota de 30 logements en 2012. Malheureusement, cette citoyenne a présentée un mois plus tard un désistement (document en notre possession). Elle a exigé de bénéficier, en échange, d’un appartement au chef-lieu de commune dans l’actuelle opération de recasement de 36 familles ayant fait objet d’une décision de démolition individuelle de leur habitat précaire, au niveau de l’ancien centre de regroupement du chef-lieu communal. Par ailleurs, je porte à la connaissance de l’opinion publique que j’ai personnellement reçu dans mon bureau cette plaignante, plus d’une quinzaine de fois depuis mon installation à l’APC d’Ahnif et que j’ai veillé à ce qu’elle bénéficie d’un logement dans son lieu de résidence (selon le certificat de résidence introduit dans son dossier au village Ighzer Oumeziav commune d’Ahnif.)
Le P/APC d’Ahnif, M Soum Salah