Les usagers de la RN25 reliant Aomar gare à Tizi-Ouzou via Draâ El Mizan se lassent au quotidien par la fermeture du passage à niveau ferroviaire. Les gardes-barrières ferment la voie, 10 à 15 minutes, avant le passage du train, ce qui se répercute sur le trafic routier. A ces moments, un embouteillage monstre se forme sur plusieurs centaines de mètres. Il arrive que la RN5 soit fermée à la circulation, au niveau du carrefour qui relie la RN5 à la RN25, ce qui cause un autre « bouchon » pour les routiers de la RN5, dans les deux sens. Il faut attendre des dizaines de minutes, voire parfois des heures, pour que la circulation devienne fluide. A cela s’ajoute les jours de marché hebdomadaire et de voitures. Chaque lundi et mardi, on enregistre un encombrement qui s’allonge sur plusieurs kilomètres au niveau de la RN5. Il arrive, quelques fois, que la circulation s’étend sur plusieurs kilomètres sur la RN25. Ce qui résulte un engorgement de la ville d’Aomar gare. Malgré la mobilisation des services de sécurité ces derniers peinent à bien gérer la situation, les policiers sont dépassés, car il est difficile de rétablir la circulation, que ce soit au niveau du carrefour RN5-RN25, ou au niveau du portail d’entrée et de sortie du marché malgré les efforts fournis.
A. B.
