Lors de son passage à Bouzeguène, le jeudi dernier, dans le cadre de la campagne électorale pour les partielles du 24 novembre prochain, Karim Tabou, secrétaire national du FFS à la communication, dira que son parti prône “thagmats”, la fraternité, dans le fond et non dans la forme. “Thagmats est dans le débat” dira-t-il. Une réponse réaffirmée à l’égard des préconiseurs de l’alliance avec son parti en vue des partielles locales prochaines. “ Ils disent qu’ils vont appeler à voter pour le FFS, là où ils n’ont pas présenté de listes. Réaffirmant les positions de son parti et rappelant les derniers évènements vécus par la Kabylie, ainsi que le contexte politique, le responsable du FFS dira que sa formation participera au prochain scrutin pour “une réelle représentativité” sociale et politique, “après les verdicts arbitraires à l’encontre de nos candidats en 2002, on s’en remet à la population dont le verdict est sans recours” poursuit-il. Concernant le retard qu’a enregistré la Kabylie ces trois dernières années, Karim Tabou dira que “la gestion du FFS n’est pour rien dans cela”.Les interventions de l’assistance étaient axées sur la gestion de l’assemblée locale. Les avis sont mitigés, “mais les agitations qui ont secoué l’exécutif ne seraient pas sans conséquences lors de la consultation à venir”, dira un intervenant.
N. Boukella