Retard dans le lancement du projet des 40 logements LSP

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Et pourtant, au début du lancement des premiers dossiers émanant d’une centaine de postulants, personne n’avait prédit une telle situation de blocage du moment que les autorités locales de l’époque ont mis à la disposition du promoteur un terrain d’assiette situé au cœur du périmètre urbain et à la clé un permis de construire établi en un temps record.Ensuite, cet obstacle de terrain étant levé, le tour est venu pour les demandeurs de s’acquitter de la première tranche de l’apport personnel qu’on considère, du côté du maître d’ouvrage, comme indispensable avant l’entame des premiers travaux.C’est cette démarche, qui a peut-être freiné l’avancée du projet, car, il faut savoir que des atermoiements et des hésitations ont parfois accompagné certains «acquéreurs» dans leur engagement dans cette nouvelle formule d’acquisition du logement, car estimant que la somme exigée par l’agence foncière de Draâ El Mizan (le promoteur) est en delà de leurs moyens financiers.A partir de là, une série d’inscrits à cette opération ont dû renoncer à leur quête de figurer sur la liste des prétendants au LSP, ce qui a contraint à une révision d’une grande partie des dossiers avant de les transmettre définitivement à la Caisse nationale du logement pour approbation, laquelle est la principale source de financement de la deuxième phase du montage financier préétabli sur la base du coût de réalisation d’un F3 et d’un F4.Au demeurant, au vu de toutes ces péripéties dont le seul perdant reste le citoyen qui n’arrive pas à se situer par rapport à ce retard accumulé dans le lancement du projet en question, d’autant qu’actuellement il semble que bon nombre de demandeurs répondent aux conditions de futurs acquéreurs.

M. Haddadi

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