Le technicien français, Manuel Amoros, en contact avec la direction de la JSK pour un éventuel recrutement, a déposé sa démission de son poste d’entraîneur de la sélection du Benin, avant-hier.
Après l’échec de son équipe face aux Verts, Amoros a, en effet, décidé de se retirer définitivement de son poste de sélectionneur dès dimanche prochain après le match de son équipe face au Mali. Son manager est toujours en contact avec les dirigeants kabyles et certains ont lié sa démission de la sélection du Benin à sa volonté de prendre en main la JSK pour la saison prochaine. Néanmoins on n’en est pas encore là vu qu’un accord définitif n’a pas encore été trouvé avec les responsables kabyles. A cet effet, les négociations doivent se poursuivre dans les tous prochains jours en vue de déboucher sur un accord final. D’un autre côté les dirigeants kabyles songeraient à Aït Djoudi au cas où les négociations échouent avec Amoros. L’ex-sélectionneur de l’équipe olympique pourrait, lui aussi, driver les Canaris si le recrutement d’Amoros tombe à l’eau, comme ça a été le cas avec Velud, Jean Guy Walleme et Mariano Barreto, pour ne citer que ceux-là. Selon une source proche de la direction de la JSK, Ait Djoudi devrait rencontrer les dirigeants dans les toutes prochaines heures. Ne pouvant pas tourner le dos à son équipe de toujours, Ait Djoudi aura toutes les chances de succéder à Sandjak si Amoros ne vient pas. À la recherche d’un entraîneur depuis plusieurs semaines, le président Hannachi se trouve dans une situation embarrassante. A quelques semaines seulement de la reprise des entraînements le président trouve toutes les peines du monde à désigner un entraîneur et à recruter des joueurs de renom. Ainsi donc, cette intersaison est un vrai cauchemar pour lui, le club n’ayant jamais vécu une pareille situation par le passé. Les fans, quant à eux, attendent avec impatience de connaître le nom du nouvel entraîneur et qui d’Amoros ou d’Ait Djoudi aura le poste. Néanmoins, on n’écarte pas la possibilité de voir Hannachi changer de cap et prendre langue avec un autre entraîneur, puisqu’il en a déjà contacté un grand nombre , sans néanmoins arriver à en convaincre un seul.
Rachid B.