Suite à la publication d’un article sous le titre « La maison de jeunes abandonnée aux délinquants », en date du 26 août, page 8, j’ai l’honneur de vous adresser les précisions suivantes pour rétablir certaines vérités vérifiables auprès des associations de la commune qui ont eu l’occasion d’y organiser des activités socioculturelles et humanitaire. Cet établissement, dont les travaux sont en voie d’achèvement, est mis, occasionnellement, à la disposition des associations pour y organiser différentes activités sous l’œil vigilant de la commune. Cet établissement est situé dans un quartier à forte densité populaire, ce qui induit une forte demande des associations pour y activer, ce que nous ne pouvons refuser sans toutefois permettre l’intrusion d’activités non conforme à la morale. Nous tenons à informer l’ensemble des citoyens que les travaux de réalisation de cet établissement ne sont pas encore achevés, que le projet n’est pas réceptionné qu’une enveloppe financière de deux millions de dinars est dégagée sur les fonds propres de la commune pour son aménagement et son équipement. Par conséquent, il est encore prématuré de parler du processus de transfert de cet établissement.
Le président de l’APC