Le projet d’une passerelle risque de tomber à l’eau

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L’installation d’une passerelle, qui enjamberait la RN26 au village Amirouche, risque de ne plus voir le jour, tant que le propriétaire d’un terrain jouxtant ladite route continue à s’opposer à ce projet, ô combien salutaire pour habitants, notamment les élèves de l’école primaire, Benhamouche Mohand Ouaâmar, laquelle est située en face de la RN26. En effet, le propriétaire du terrain devant recevoir une partie de l’infrastructure métallique « se refuse », selon des sources locales, à céder une parcelle du terrain pour l’implantation de la passerelle, pénalisant, de ce fait, des milliers d’habitants vivant dans la hantise et le risque d’accidents de la circulation, étant donné que ce village agricole, par excellence, est bâtit de part et d’autre de la RN26. L’installation des ralentisseurs dans ce village, n’a pas pour autant mené les automobilistes à réduire la vitesse. Ils sont des milliers de véhicules qui transitent quotidiennement par Amirouche, qui, en plus de la pollution au gaz d’échappement et des désagréments sonores, ces véhicules désarçonnent les élèves lorsqu’ils s’apprêtent à traverser la route pour rejoindre leur école, située de l’autre côté de la rive. Les parents d’élèves, les enseignants et les habitants lancent un appel afin de régler ce problème au plus vite. Car il va de la vie de la population et des élèves en particulier !

Syphax Y.

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