Hommage à Samir Osmani

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Il y avait du monde, avant-hier dans l’après-midi, au stade Ahcène Aiboud de Tadmaït. 

Toute la famille sportive était au rendez-vous pour rendre hommage à l’ancien attaquant des jeunes catégories de la JST, Osmani Samir, décédé à l’âge de 16 ans, un certain 12 Août 2004, par noyade. Le défunt avait fait ses classes à la JS Tadmaït, en benjamins, pendant deux saisons, sous la houlette de Moh Meziane, dit Moh Arezki. Il jouera ensuite avec les minimes puis les cadets. Sous la houlette de Moh Achiche, il a gagné un doublé (coupe et championnat) en 2002. A l’initiative de l’association sportive de Tadmaït, présidée par Yacine Bouadou, un tournoi hommage a été donc organisé avant-hier. L’animateur n’était autre que l’infatigable amoureux de la balle ronde Madjid Merzouk, qui a su créer de l’énergie dans cette journée commémorative. Plusieurs personnalités du monde du football étaient présentes.  Au programme, il y a eu un match d’ouverture, entre deux équipes de la ville des 1000 martyrs, avant que les vétérans de Tadmaït ne donnent la réplique aux anciens joueurs de la JS Bordj Menaïel et de la JS Kabylie. En fin de journée, des cadeaux ont été remis à tous les participants avec des diplômes de participation. Une collation fut offerte à tous les présents. Belle initiative donc de l’AS Tadmaït qui n’a pas oublié le jeune Osmani Samir, mort à la fleur de l’âge.  

Aït Djoudi et Samy Idrès présents

Azzedine Aït Djoudi, le coach des Canaris du Djurdjura, était présent, avant-hier, au stade de Tadmaït, sur invitation des organisateurs de cet hommage. Il y avait également un autre membre de la famille JSK, le président du CSA Samy Idrès. Des maillots à l’effigie du jeune Osmani Samir, ainsi que des diplômes d’honneur et des médailles leur ont été offerts. Tchipalo et Essaid Ziane ont tenu à être présents. Arrivés en retard, Ali Belahcène et Essaid Ziane, deux anciens joueurs kabyles, ont également tenu à être présents à l’événement. Hakim Medane, qui était lui aussi invité s’est excusé de ne pouvoir être là pour raisons familiales. 

Amazigh Omar

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