Un groupe de citoyens, en majorité des jeunes, se sont dirigés, dans la matinée de jeudi dernier, vers le siège de l’APC pour en cadenasser la porte d’entrée.
Ils protestent contre ce qu’ils qualifient de défaillance de gestion et de retard mis pour la prise en charge de quelques contraintes qui se répercutent sur leur quotidien et leur cadre de vie. Une action appuyée par une requête rédigée par les protestataires, au nom de la population de M’Chedallah, où sont cochés les contraintes évoquées tel que : L’état fort dégradé du chef-lieu de commune et qui nécessite une prise en charge rapide, en parallèle à la défaillance dans le ramassage d’ordures ménagères et l’éclairage public en partie inopérant au chef-lieu de commune en même temps de daïra. Dans la même requête, il est fait mention d’un manque à gagner en matière de logements sociaux pour célibataires, notamment la création de postes d’emploi et le lancement de projet de développement. Comme il a été aussi mentionné le cas de la délocalisation du marché hebdomadaire et le retard mis pour l’octroi des stands aux marchands ambulants au niveau du nouveau marché hebdomadaire. Il n’en demeure pas moins, que le cas sur lequel se sont focalisés la majorité des protestataires reste celui de l’opération « Blanche Algérie ». Ces derniers ne sont pas allés par quatre chemins en accusant les gestionnaires de ce dossier de favoritisme et d’impartialité. Un dossier à propos duquel les signataires de la requête, dont des copies ont été adressées à toutes les autorités concernées, exigent une commission d’enquête pour faire toute la lumière quand aux modalités d’octroi de ces projets lancés à travers toutes les grandes agglomérations de la commune.
À propos de ce même programme de « Blanche Algérie », un groupe de jeunes, de la localité d’Ath Yekhlef, affirment que leurs recours sont restés sans suite à ce jour, après avoir étaient écartés de cette opération.
Oulaid Soualah.

