De nouvelles formations lancées

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Le centre de formation professionnelle et d’apprentissage pour adultes (CFPA) de la daïra d’Iferhounène, selon son directeur, M. Debiane, accueille environ 80 apprentis par session, selon la demande et la disponibilité des postes d’apprentissage chez les employeurs dans différentes spécialités, notamment installation sanitaire et gaz, maçonnerie, électricité bâtiment et auto, menuiserie aluminium, tissage, couture, coiffure …etc. « La nouveauté cette année, réside dans l’ouverture de nouvelles formations résidentielles dans les spécialités, maçonnerie et électricité bâtiment qui s’ajoutent à celles déjà existantes, à savoir l’informatique, la comptabilité habits traditionnels, agents commerciaux, tailleurs et coiffure dames», expliquera-t-il. Le directeur précisera que les niveaux d’accès varient selon les spécialités. Comme il est de même pour la durée des formations qui s’allongent de 12 à 24 mois ». Selon notre interlocuteur, le centre offre également des formations qualifiantes en convention avec des associations culturelles des villages. Il nous citera à titre illustratif l’association « Tala Melloul » du village de Tirourda, dans la commune d’Iferhounène, qui a collaboré à la formation de trois jeunes filles dans les spécialités, coiffure dames, tissage et couture. Le CFPA d’Iferhounène, d’après M. Debiane, a donné la chance à 23 femmes au foyer de suivre des formations dans l’établissement. Des universitaires, en quête de sortie à l’étranger, s’inscrivent aussi pour faire des formations spécialisées, à même de leur garantir des débouchées de travail en Europe, notamment la plomberie, l’électricité bâtiment, la peinture, la maçonnerie,…etc. Notre interlocuteur, avant de dire son dernier mot, a lancé un appel aux jeunes sans diplôme à se rapprocher du centre afin de suivre une formation qui leur assurera leur avenir. « Toutes les conditions d’une meilleure prise en charge sont réunies. La demie pension et une bourse pour les premiers 6 mois de stage sont garanties pour tous nos stagiaires », conclu-t-il.

Madjid Aberdache

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