Nukni netsriski

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Comment êtes-vous devenu taxieur clandestin ?Auparavant, je travaillais dans une usine et suite à une grande compression d’effectif, j’ai opté pour un départ volontaire. Avec mon indemnisation, j’ai acheté une Peugeot 305. Et voilà ! Xedmagh des courses.

Est-ce que vous vous en sortez ?C’est sûr, xir luzin. Je gagne bien ma vie. J’ai des frais, mais avec les courses de nuit, je m’en sors.

N’est-ce pas dangereux ?Il y a beaucoup de risques, mais moi je choisis toujours mes clients. Je me fie à mon instinct et à la tête du client.

Combien de courses par jour faites-vous ?Ça dépend des jours, en moyenne, je fais cinq à six courses. Les jeudis et samedi tela l’xadma.Quelle est votre plus longue course ?Tizi Ouzou-Tiaret. J’ai pris un couple.

Comment voyez-vous la concurrence avec les taxieurs ?Les taxieurs sont des gagne-petit. Hamlen les petites courses. Nukni netsriski… La vraie concurrence, concerne les fourgons, il y en a trop !

Une voiture ?Ulac am Peugeot.

Un trajet de rêve ?Tizi-Aéroport.

Un client ?Hamlagh arraw t’familt.

Un pourboire ?Un émigré n ghorna yefakyid 10 euros.

Une ville ?Mostaganem, telha.

Une amende ?Xalsagh 1 500 dinars aka pour rien.

Un tronçon mortel ?La RN12. Chender-Tidjelabine… Bouaid !

Un programme TV ?Turbo di la “6”.

Un homme politique ?Abane Ramdane lukan iaâc, Atyerham Rebbi.

Un sportif ?Noureddine Drioueche.

Un artiste ?Lounès Kheloui et Youcef Abjaoui.

Tanemirt aya fraudeur.Tanemirt stusda rebbi d’Arrazaq.

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