Depuis la nomination officielle, il y a près d’une semaine, du nouvel entraîneur, El Hadi Khezzar, à la barre technique des Vert et Rouge de la Soummam, et alors que la reprise des entraînements est fixée pour le 1er juillet prochain au stade de l’UMA, les choses ne semblent toujours pas bouger dans le sens souhaité par les inconditionnels de la JSMB qui s’impatientent de découvrir les nouvelles recrues de cet été et qui attendent de leurs dirigeants du concret concernant ce volet. Les fans restent toutefois suspendus aux nouvelles émanant de l’entourage proche de Boualem Tiab qui multiplie, certes, les contacts avec certains joueurs susceptibles de venir renforcer les rangs de l’équipe, mais sans pour autant parvenir à finaliser avec tel ou untel. Pourtant, le temps joue vraiment contre la direction Béjaouie, qui voudrait s’offrir les services d’éléments de qualité et expérimentés pour pouvoir jouer l’accession et revenir dès la saison prochaine en Ligue 1. C’est aussi l’objectif que se sont fixés la direction du club et le revenant El Hadi Khezzar, lors des négociations. Ce dernier avait même déclaré être ravi par l’engagement du président Tiab à mettre tous « les moyens nécessaires pour permettre à la JSMB de relever le défi et retrouver vite sa place parmi l’élite ». En outre, Khezzar qui a déjà fait part de son souhait de recruter une douzaine de joueurs pour renforcer tous les compartiments de l’équipe, attend donc au même titre que les fans du club de voir les choses évoluer de manière positive, dès lundi prochain, comme annoncé par une voix autorisée du club. D’autre part, pour le chapitre des libérés, rien n’est encore officiel concernant les joueurs en fin de contrat et dont la situation se trouve toujours en souffrance, à l’image des Megatli, Mebarakou, Hamouche, Chehaima et même Zafour, alors que le milieu de terrain Belkacem Niati a opté officiellement, mercredi dernier, pour le nouveau promu en Ligue 1, l’USMBA. Un départ du reste prévisible de l’enfant de Chlef, connu surtout pour son caractère grognon et ses multiples agitations liées à ses arriérés de salaires.
B. Ouari