«Nous avons prévu de lui rendre homme lors du prochain festival de la chanson Kabyle, prévu du 09 au 14 août, mais nous n’avions jamais pensé qu’il nous quitterait aussi tôt. Lorsque je lui rendais visite chez lui, il cachait sa souffrance. Il m’a dit : « Je mettrai mon beau costume et je viendrai au festival ». Cela nous a émus jusqu’aux larmes. Il a beaucoup donné pour la chanson kabyle. Il venait pratiquement chaque matin à la maison de la culture et nous ramenait des fruits. Il a laissé un grand vide dans nos cœurs. Il nous manquera terriblement ».
Boualem Slimani