l Désormais, c’est l’entreprise des travaux de bâtiments, dénommée Grande entreprise Ouchène (GEO), qui sera principal sponsor d’Echaâbia. C’est, en tout cas, l’information qui nous a été donnée par l’un des membres du bureau du CSA-MCB. Notre interlocuteur nous fera savoir que ladite entreprise “prendra en charge toutes les dépenses du club” et qu’il a eu à s’entretenir avec les joueurs à la veille du match face au CRBDB. “D’ailleurs, argumentera notre source, le gérant de GEO a offert un lot de survêtements portant le sigle de la même entreprise”.
L’arbitre Bendahmane était partial et à côté de la plaque
l Rarement la prestation d’un homme en noir a été aussi décevante et médiocre que celle fournie par le juge central Bendahmane lors de la rencontre MCB – CRBDB.En usant de coups de sifflets à tort et à travers, ce qui a cassé le rythme de jeu des 22 acteurs et en brandissant des cartons (huit au total) dont un bon nombre sans raison comme celui qui a été brandi contre Mézine qui traînait la patte au moment où il se dirigeait vers la ligne de touche pour être remplacé. D’ailleurs, c’est parce qu’il boitait que son entraîneur l’a fait remplacer, Bendahmane a été totalement à côté de la plaque et de son sujet. Pis encore. il a offert même un tir au but aux visiteurs pour une faute purement imaginaire. Pour couronner le tout, la partie a pris quelques 110 minutes de jeu en multipliant des coups de sifflets pour des coups francs fictifs à l’avantage des Algérois.
Excès de zèle du délégué de match
l Il est des délégués de rencontre qui prennent un peu trop au sérieux, pour ne pas dire à l’excès, leur mission. Celui qui était présent à Bouira pour la rencontre MCB – CRBDB en est la parfaite illustration. En refusant les cartes de presse des correspondants sportifs, qu’il connaît au demeurant, leur préférant exclusivement les ordres de mission, le sieur délégué a voulu imposer son “veto”.D’ailleurs, il n’a pas daigné le faire savoir par lui-même, il a chargé les policiers présents de procéder à la vérification. Certains correspondants ont préféré alors rejoindre les tribunes des spectateurs. C’est honteux, monsieur le délégué !
B. Mechoub