La commune renferme de nombreux champions d’Algérie, d’Afrique et de bonnes performances mondiales en athlétisme particulièrement. Les citer, nous risquons d’en oublier certains. Les arts martiaux occupent une place privilégiée dans cette commune qui entend jouer les premiers rôles, tout comme l’école de football qui a connu l’émergence de plusieurs joueurs qui avaient fait le bonheur de l’ancienne JSK. Le théâtre aussi est une discipline très prisée dans cette ville qui se flatte en occupant les premières loges dans ce créneau. Mais, il est à déplorer la décadence de toutes ces disciplines qui se meurent à petit feu au grand désarroi de milliers de jeunes qui se voient privés de leur maison des jeunes, occupée pour une durée provisoire, suite à l’attentat dont la BMPJ avait fait l’objet, en Février 2007. Depuis, l’occupation est un provisoire qui dure. Le complexe culturel et sportif ne se retrouve plus et les activités se font très rares. La situation est devenue complexe. La salle de cinéma « Le Hoggar » n’est ouverte qu’occasionnellement et la place du cinéma est devenue un espace de stationnements pour véhicules encombrants le passage des piétons. Les jeunes se font vieux, les compétences s’amenuisent et d’autres quittent le bercail pour d’autres cieux plus cléments. Il est à relever, cependant, la satisfaction dans la livraison du stade de la cité Khelil, avec sa pelouse synthétique qui est occupé à longueur de journée par des jeunes et des moins jeunes qui se défoulent, en attendant d’autres à travers le territoire communal : cité des 400 logements, cité Mahmoudi entre autres. « Le projet de la piscine communale est-il tombé à l’eau ? » s’interrogent les plus avisés.
A.T
