Azazga suffoque !

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Les citoyens sont confrontés à d’interminables embouteillages créant des désagréments à longueur de journées. 

Les bouchons dans la ville d’Azazga sont légendaires en ces jours de l’Aïd. Le pic est certainement atteint, du fait qu’il vous est quasiment impossible d’y pénétrer en véhicule. En effet, les quatre entrées principales que compte la ville sont surchargées de voitures à tel point qu’on ne peut atteindre le centre ville ou un quelconque stationnement qu’au prix de plusieurs minutes de patience. Que soit par Tirsatine, côté Ouest, Yakouren, côté Est ou d’ailleurs, la situation reste toujours la même. Les citoyens sont confrontés à d’interminables files créant des désagréments à longueur de journées. Plus pire encore pour le côté nord, pourtant réputé être le plus «calme» sauf en la période estivale, car il constitue l’itinéraire le plus indiqué vers les plages d’Azeffoun. La raison est très simple : depuis que l’évitement de la ville est à moitié ouvert, la plupart des automobilistes préfèrent l’emprunter à partir de Fréha, à proximité de l’entreprise ENIE, car il est en doubles voies rapides. Malheureusement, cet évitement s’arrête au niveau de la RN72 au lieu de continuer vers Yakouren à la sortie Est. Tout le monde se rabat du coup vers la ville, ce qui engendre de très grands bouchons. Bien sûr la course vers des raccourcis est systématiquement lancée par le village Ighil Bouzel ou encore par le vieux stade Boukersi. Toutes ces raisons rajoutées au fait qu’Azazga est victime de sa réputation en tant que ville commerciale font qu’elle soit suffoquée en ces jours sacrés. Néanmoins, il ne faut pas croire que les villes voisines sont épargnées, Fréha par exemple connaît le même sort, mais à un degré moindre.          

D. Ferhat

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