Les CSA JS Aït Yahia Moussa et US Tafoughalt satisfaits

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Finalement, les membres ayant assisté à la délibération de mercredi dernier en présence des associations sportives de la commune, à savoir la JS Ait Yahia Moussa et l’US Tafoughalt ainsi que la section de boxe chinoise, ont opté par la répartition suivante de la cagnotte présentée par l’Assemblée Populaire Communale: deux cents millions de centimes pour chacun des deux CSA et une subvention de cent cinquante mille dinars pour l’association de King Boxing.  » C’est une répartition équitable », nous répondra un membre du CSA de l’US Tafoughalt. Pour le président d’APC, en plus de cette enveloppe financière, les membres de son exécutif viennent au secours de ces CSA avec d’autres aides.  » Nous leur assurons toujours le transport », nous dira-t-il. Concernant le CSA/ US Allela, notre interlocuteur donnera ses assurances que celui-ci sera pris en charge prochainement.  » Ce sont tous des jeunes de notre commune. Du moment qu’ils évoluent dans le même palier, ils auront les mêmes égards »; conclura le maire. Cette fois-ci, les dirigeants de l’US Tafoughalt ont très bien accueilli cette décision en bénéficiant de la même subvention que leurs homologues de la JS Ait Yahia Moussa.  » On ne se plaindra pas, parce que nous avons été traités de la même façon que nos camarades de la JSAYM, contrairement à la saison passée où ils ont eu quelques millions de centimes de plus par rapport à nous. Le problème a été soulevé en présence du maire lorsque nous avions organisé une réception pour nos joueurs. Ce dernier a tenu sa promesse », nous confiera un dirigeant de l’UST. Maintenant que ces subventions ont été votées au profit de ces associations, il faudra aussi faire en sorte à ce que cet argent arrive le plus vite possible dans leurs caisses.  » On ne pourra pas avancer si cette argent stagnera des mois. Nos caisses sont vides et nous n’allons pas encore demander aux villageois de nous aider chaque week-end », nous répondra un autre membre du CSA/ UST qui, disons-le, n’a pas les moyens de prendre en charge plus de cent vingt jeunes encore une année, avec presque sans aucun sou dans les caisses.

Amar Ouramdane

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