Abdelghani Hamel s’est rendu illico-presto à Ghardaia pour constater de visu la situation qui prévaut dans cette wilaya, suite aux rumeurs faisant état de la mort de 3 policiers suite aux échauffourées qui ont éclaté durant la nuit de vendredi à samedi à Berriane.
Dans un communiqué qui nous a été remis hier par l’adjoint du chargé de la communication au niveau de la DGSN et dont l’ensemble des journaux ont été destinataires, il est clairement mentionné que Abdelghani Hamel s’est rendu illico-presto à Ghardaia pour constater de visu la situation qui prévaut dans cette wilaya, suite aux rumeurs faisant état de la mort de 3 policiers suite aux échauffourées qui ont éclaté durant la nuit de vendredi à samedi à Berriane. Sur place, et fidèle à sa politique qui consiste à être à l’écoute de tout ce qui a trait aux problèmes des policiers, le DGSN a demandé à réunir l’ensemble des agents de la sûreté nationale pour voir de quoi il en retournait. C’est ainsi qu’après les prises de parole dans un climat serein et dénué de tout formalisme, Abdelghani Hamel a informé l’assistance que suite aux échauffourées qui se sont produits durant la nuit de vendredi à samedi entre les deux communautés mozabite et Chaambi, trois policiers ont été blessés et un camion des unités d’intervention a été sérieusement endommagé. Ainsi, et face aux rumeurs qui annonçaient la mort de 3 policiers lors de ces affrontements et qui n’ont pas manqué d’engendrer une certaine panique chez les policiers, Abdelghani Hamel a préféré rétablir la vérité en se rendant avec une délégation au centre hospitalier de la ville. Cette visite à Ghardaïa du premier responsable de la DGSN a non seulement permis de rétablir la vérité sur ce qui s’est déroulé lors des échauffourées entre policiers et citoyens, mais elle a également rassuré les policiers « contestataires » sur le bien fondé des intentions de la DGSN d’être constamment à l’écoute des préoccupations des policiers dont certains se sont plaints auprès du DGSN d’être constamment la cible des agissements de ceux qui cherchent à semer un climat de violence dans cette vallée du Mzab.
Ferhat Zafane