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Le gaz naturel arrive progressivement

Les travaux de revêtement des routes relevant du cadre des PCD sont achevés au niveau des trois villages de la commune de Tadmaït. Il s’agit de la cité Chéradi vers l’autoroute, au centre ville ; de la cité Akbou ; d’Aït Chelmoune jusqu’à la frontière avec Naciria (dans la Wilaya de Boumerdès), sur une distance d’environ deux kms. Les usagers de ces routes n’auront plus de crainte à les emprunter comme par le passé. L’autre satisfaction : le raccordement au gaz naturel qui fait, sans nul doute, le bonheur des dizaines de foyers des villages : Akbou, Abla, Ichakalen où les familles commencent à apprécier les bienfaits de cette commodité longtemps réservée aux citadins. D’autres villages tels : Kaf Lagab, Médaï, Tahechat, Boukhelad et Tilmatine attendent avec impatience l’arrivée du gaz qui améliorera leurs conditions de vie dans ces contrées montagneuses. On apprend, en outre,  que le côté Sidi Ali Bounab, à savoir, Ihidoussen, Aït Mamar, Thala Malek et Aït Sidi Smaïl, est retenu dans ce présent PCD. Ainsi, il est demandé aux habitants de ces localités de patienter et de ne pas perdre espoir. Une chose est sûre : le gaz arrivera dans tous les foyers et il couvrira la commune de Tadmaït sur toute son étendue ! Le secteur de l’éducation, quant à lui, sera renforcé par la réalisation d’une école base 5 dont les travaux sont en cours et qui sera implantée au Nord de la cité Chouhalda, derrière l’EPLF. Une réunion a regroupé la semaine dernière, les élus locaux et les directeurs des écoles primaires à qui il a été demandé de formuler leurs doléances. Des fiches techniques sont à l’étude au niveau de l’APC pour d’éventuels travaux qui pourront être entamés durant les prochains congés d’hiver ou de printemps, tandis que les grosses réparations sont généralement retenues au cours des vacances d’été. Cependant, il est conseillé d’éviter tous travaux qui dérangeraient la scolarité des enfants, comme constaté malheureusement dans de nombreuses écoles, à travers la Wilaya. « Il est indispensable, dans ce cas de figure, de revoir le code des marchés. », préconisent les élus.

                                   

 Arous Touil

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