«La thèse de l’acte prémédité est à écarter»

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Le ministre des Sports, Mohamed Tahmi, a affirmé hier que la thèse de «l’acte préméditée» dans la mort tragique de l’attaquant Camerounais de la JSK, Albert Ebossé est «complètement à écarter». «Nous avons reçu une enquête administrative qui évoque, si on peut le dire, un homicide involontaire. Les joueurs présents dans le stade étaient tous visés par des projectiles. La thèse de l’acte prémédité est donc à écarter»  a-t-il déclaré lors de l’émission «Invité de la rédaction» de la chaîne III, de la Radio algérienne. «L’affaire est à présent entre les mains de la justice qui va déterminer les responsabilités qui seront par la suite assumées par les parties concernées», a ajouté le ministre. Une réponse nette et précise de la part du premier responsable des sports en Algérie, à la dernière sortie de la famille du joueur Camerounais où elle avait affirmé par la voix de ses avocats que l’ex-attaquant des Canaris avait été «froidement assassiné» en se référant aux conclusions d’une autopsie effectuée au Cameroun par des médecins de l’hôpital militaire de Douala.

A. C.

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