La dépêche de Kabylie : Comment êtes-vous venu à la chanson ?
M.Chekdid Rachid : C’est un don. Mais, c’est aussi une question d’amour entre l’artiste et la chanson.
Combien d’albums avez-vous à votre actif ?
Actuellement, je suis à mon 5ème qui est sorti le mois de mai passé chez les éditions « Kenza »,qui a pour titre « Ayakham ». D’ailleurs, permettez-moi de saisir cette opportunité pour remercier Mr Aiboud Karim qui m’a beaucoup aidé dans la réalisation de cet album. Quant aux autres albums, le 4ème, s’intitule « Lemkam », le 3ème « Ahviv », le second « Lamar Achrine ». Alors que mon 1er album, je l’ai composé en 1988, mais il n’est sorti qu’en 1993, faute de moyens.
Votre style préféré ?
J’ai toujours préféré le folklore et le chaabi.
Votre chanson préférée ?
Pour moi, mes chansons sont comme mes enfants. Je ne fais pas de différence entre elles. Je les aime toutes.
Quel est votre chanteur adulé ?
Sans citer de nom, j’aime tous les chanteurs qui font de la bonne musique et de la bonne poésie.
Vous êtes chanteur et acteur à la fois. Comment vous conciliez-vous avec les deux en même temps ?
Un chanteur est avant tout un artiste, d’ailleurs comme l’acteur. Donc, il n’y a aucun inconvénient d’être un peu partout.
Dans quel rôle vous sentez-vous mieux ?
Tous les rôles me conviennent. J’interprète les personnages avec beaucoup d’amour et de patience.
Dans combien de films avez-vous joué ?
Dans le film « Ur kat Agma Intadh », un feuilleton qui parlait du quotidien des handicapés, où j’ai interprété le rôle de postier qui est d’ailleurs ma fonction. Comme j’ai interprété aussi le rôle «d’ingénieur agronome», dans le feuilleton « Ikhef Lahna ».
Des projets en cours…
Oui, des tournées et des participations dans un nouveau feuilleton.
Lequel ?
C’est une surprise que je laisserai aux téléspectateurs de découvrir.
Avez-vous un message à passer à vos fans en ce début de l’année ?
Je leur souhaite une bonne année qui leur apportera beaucoup de joie et de réussite dans tous les domaines. Comme, je souhaite aussi longue vie à la dépêche de Kabylie qui m’a offert cette opportunité.
Madjid Aberdache

