Les deux édifices pris en charge

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Les édifices publics dont les travaux sont arrêtés ont été relancés. A commencer par l’antenne administrative de Boumahni, elle est en cours d’achèvement. « Actuellement, c’est l’étape de la finition. Nous aurons par la suite un problème du branchement d’électricité mais nous essaierons de lui injecter un peu d’argent », nous confiera le maire. Au sujet des classes détruites à l’école primaire de Bouhamou, nous apprendrons que le premier avis a été infructueux. « Les consultations sont lancées pour le choix d’entreprise. Nous souhaitons que les choses aillent pour  le mieux pour enfin mettre à la disposition des élèves ces classes », ajoutera notre interlocuteur. La bonne nouvelle est que la crèche est achevée.  Pour ses équipements, le P/APC nous dira qu’une enveloppe de cent cinquante millions lui a prélevée sur le BS.  L’autre décision prise est d’injecter une rallonge grâce à une subvention de wilaya  de 350 millions de centimes pour poursuivre les travaux à la bibliothèque communale. « Ce sera insuffisant, mais nous pensons puiser de l’argent dans le FFCL », soulignera dans son intervention M. Merzouk Haddadi car c’est de lui qu’il s’agit.  L’actuelle équipe à la tête de l’APC estime que tous ces édifices publics urgent dans cette municipalité afin de satisfaire les besoins des citoyens. « Aussi bien la crèche communale que la bibliothèque et l’antenne de mairie sont des structures dont nos concitoyens ont réellement besoin. A titre d’exemple, la crèche. Les femmes travailleuses ne trouvent pas où placer leurs enfants.  Certaines d’entre elles sont contraintes d’aller jusqu’à Boghni ou encore à Draâ El-Mizan. Sinon, elles doivent recourir à des nourrices. Dès que cette structure sera prête, nous passerons à son adjudication car l’APC n’a ni personnel ni encore moins les moyens pour la faire fonctionner », terminera notre source. En définitive, ce genre de structures n’apporte que du bien pour les citoyens de ces petites municipalités souvent rurales ou semi-rurales à l’image de celle-ci.

A. O.

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